Assortiment des affaires cyclotouristes

Réaliser des routes de cyclotourisme sportif (sans des sacoches) pendant plus d'un jour génère certaines difficultés logistiques à cause de la difficulté pour porter les affaires.

Sans exclure d’autres options que les impliqués peuvent proposer, nous vous proposons quelques unes.

Le premier c’est le mode VISAExpress; Cela consiste à payer avec VISA tout ce qui peut être payé et transporter les affaires dans une version hyper réduite dans les poches et des bidons dans le guidon et sous barre et selle. Vous pouvez ajouter également un mini-sac à dos de type camelback bien collée sur le dos. Bien que dans le cyclisme moderne " hispanique" l’option du sac à dos collée semble-t-il un sacrilège, dans les pays avec plus de tradition cycliste ils le font sans casser une sueur.

Une autre option c’est du prendre un véhicule de soutien propre. Les acteurs impliqués se relayent et le jour où vous prenez la voiture, vous la portez jusqu'à la destination et rencontrez les collègues.
Cette option a une alternative qui est même mieux, la «b». Le conducteur est une personne qui veut faire du «tourisme», mais ne veux pas faire du «cyclo». Si les étapes ne sont pas trop longs et il reste du temps pour quelque chose qui ne soit pas l’action de pédaler, cette option «b» peut vous satisfaire.

Et une autre troisième option c’est l’achat de services de soutien qui vous résolvent la logistique tout en fournissant un véhicule d'appui et un transport de bagages et ajouteront de la valeur à l'activité tels que l'accompagnement d'un guide/photographe en pédalant avec le groupe tout au long de la tournée.

Certaines des photographies qui apparaissent sur ce site ont été prises dans des preuves cyclistes où même sur la route. A ceux qui se promenait par là à ce moment donné.
Tout ce qui concerne l'image est assez compliqué compte tenu du fait qu’on ne sait jamais quand on assaille l'intimité de quelqu'un ou quand on le flatte.
Si vous apparaissez dans quelqu’une des images et que cela vous dérange, n'hésitez pas à nous le faire savoir. Si au contraire, cela ne vous dérange pas et vous voulez la photo originale, demandez-la-nous et nous vous l’enverrons.

Participant de la « Pax Avant 2013 » téléporté à la ville de Navascués de Navarre.

Veuillez noter que, parmi les informations qui apparaissent dans les profils sur ce site Web, on peut trouver, à part des lieux de pas, des cotes d'altitude et de kilomètres par des tronçons, les nombres des routes de chaque section de la route.
Cela signifie que si vous l'imprimez et prenez avec vous ca vous aidera à suivre l’itinéraire sur la route.

Le fait de vouloir baptiser chaque combinaison de ports et de routes, comme s’il s’agissait des enfants, ne veut pas dire qu’on soit prétentieux.

Voilà ce qui se passe:
D'une part il est fatigant mentalement parlant faire référence à chaque itinéraire par leur description géographique (mode "qui va de ... à ... et se termine avec ..."). C’est á dire, les baptiser nous permet d’organiser et de simplifier.

D’autre part, nous savons que, comme la tradition sorcière basque le dit, "celui qui a un nom existe" et c'est pour ça que nos préférons faire le «Quebrantahuesos » avant « qui va de Sabinanigo à Somport, de là au Marie Blanque, puis passe à travers du Portalet et se termine à Sabiñanigo ».

Voilà la raison d’être des noms. Il y a quelque chose chez l’ «homo cyclensis» qui vous fait sentir un peu plus de satisfaction, lorsqu’à la fin d’une route de plusieurs kilomètres, on peut nommer la route.
Les divagations sur la raison nous las laissons à chacun.